Toulon, mes années
cinquante
Quelques personnages célèbres
du quartier...
En parcourant
le livre de
Danièle Masse, je fus agréablement surpris
d'apprendre
que quelques personnages
célèbres habitèrent ou
nacquirent dans "mon
quartier" du centre ville de Toulon.
Sans plagier
Wikipedia, je
voudrais porter à la connaissance du surfeur du web ou de
l'internaute ce que furent ces hommes.
Je n'ai pas vu de femmes !
Je remercie
donc, par avance, les contributeurs de Wikipedia de m'autoriser
à recopier ci après leur prose.
D'autre part, je m'aperçois fin 2016 que j'ai oublié un
personnage et non des moindres... Un drôle de quiproquo...
Cela concerne l'explorateur Raymond Maufrais... Son père l'a recherché pendant plus d'une décennie...
Edgard (le père) a parcouru plus d'une dizaine de milliers de
kilomètres dans la jungle Amazonienne, plus que son fils...
Né le 18 août 1905 à Toulon,
où il est mort
le 15 juillet 1994, est un peintre figuratif français.
Eugène
Baboulène est le fils de Jean Baboulène
originaire de
Tréjouls dans le Tarn-et-Garonne et de Suzanne Philip
originaire
des Pays-Bas. Il est
né dans une maison située place du
Pavé d'Amour près du cours Lafayette à
Toulon.
Après
l'École des beaux-arts de
Toulon il suit à Paris les cours de Pierre Laurent
à
l'École nationale supérieure des beaux-arts, tout
en
s'inscrivant à l'École nationale
supérieure des
arts décoratifs. Pour subvenir à ses besoins
quotidiens,
il travaille comme retoucheur de nuit au journal L'Intransigeant.
Il revient à Toulon en 1931 et vit de son travail de
décorateur qu'il exerce aussi bien dans les maisons closes
les
plus célèbres de Toulon qu'au
théâtre de la
ville.
Il est nommé professeur de décoration
à
l'École des beaux-arts de Toulon en 1936.
Il peint
également, mais sans succès commercial. En 1946,
ses
rencontres avec les grands peintres catalans Antoni Clavé et
Antoni Tapies vont être déterminantes. Il suit
leur
conseil de délaisser la décoration pour se
consacrer
uniquement à la peinture, et ses tableaux sont enfin
appréciés.
À partir de 1950, il est présent dans toutes les
manifestations artistiques importantes. De nombreuses
expositions lui sont consacrées, tant en France (Paris,
Nice, Rouen, Nantes, Strasbourg, Le Havre, Bordeaux, Lyon)
qu'à l'étranger (Malmö, Londres, Oran,
Genève, New York, Berlin, Tokyo, Madrid).
Qualifié de peintre "le plus songeur des
figuratifs", cet artiste est
considéré comme
un des meilleurs peintres de l’École
provençale contemporaine.
Il affectionne plus particulièrement les marines et les
paysages provençaux, les ambiances simples et chaleureuses,
qu'il peint avec finesse dans des harmonies de couleurs aux tons
pastels.
Il est élu membre de l'Académie du Var en 1979.
Une place et une maison de Toulon portent son nom.
Joseph
Julien Casimir Mange dit José Mange,
né le 10
octobre 1866 et mort le 7 janvier 1935 à Toulon,est un peintre paysagiste
et un poète félibre
Français.
Etudes au collège catholique d'Aix en Provence entre 1876 et
1886 (il visite le musé Granet où il fait la
connaissance
de Paul Cezanne). Il obtient le baccalauréat en 1886.
Entre 1886 et 1890 il s'installe à Paris pour
étudier la
peinture. Elève de Jean Paul Laurens et Benjamin Constant,
il se
lie d'amitié avec Louis Denis Valvérane.
Leur admiration
commune pour Frédéric Mistral leur
fait rejoindre la Société des Félibres
de Paris.
Au café Procope lieu des réunions
littéraires des
Félibres, Mange retrouve ses anciens amis du
collège
catholique d'Aix en Provence dont Charles Mauras et René de
Saint Pons.
En 1891 avec Denis Valvérane, Mange
se rend à
Tamaris à l'inauguration du médaillon de George
Sand,
dû à Charles Roufosse, installé dans la
villa
qu'elle avait occupée.
En 1892 Avec Mauras, Mange fonde l'Escolo Parisienco
(l'École parisienne), soit un cercle qui se
présente
comme une société de jeunes félibres
libérés de leurs ainés.
Il participe pour la première fois au salon des artistes
indépendants en 1893 et vend une toile.
Accompagné de
Denis Valvérane, il séjourne à Toulon
lors de la
visite de l'escadre Russe.
Il déménage en 1894 au 5 rue Monge et avec Denis
Valvérane ils partagent un atelier dans les combles de
l'hôtel Lauzun.
Entre 1894 et 1897 il expose au Salon des Artistes
Indépendants.
En 1900, il expose au salon d'Automne et au salon des Tuileries. Retour sur Toulon en 1900
et s'installe au 2 rue Marchand. Il continue d'envoyer des
oeuvres aux salons et galeries de Paris.
En 1902, il participe au
premier Salon des Amis des Arts (place de la Liberté
à
Toulon). Il expose en même temps que son
maître
Cézanne. Mécontent de la place
réservée au
tableau de son maître, Mange retire son tableau.
1903-1909
Participe aux
expositions annuelles des Amis des Arts de Toulon. 1905 Ses parents lui
achètent l'atelier photographique Gerby toujours dans la
même ville. 1907 Décès de son
père, 1915
Décès de sa mère.
1916, le 31 août, il épouse Marguerite,
Marie-Louise
Santinacci (née à Le Perreux, Seine, le 14 juin
1897)
qu'il surnomme Guyte.
1917 Il abandonne l'atelier photographique et
s'installe au Quatre Chemin des Routes puis au quai du Parti
où il occupe un grand atelier. 1920,
déménage rue du Mûrier et loue deux
ateliers dont un au 25, rue Magnaque. Cet
atelier était au-dessous de celui de Marius Echevin qui
disait
de lui : "Le peintre José Mange, mon voisin fervent
de
Renoir ouvre mes yeux à L'impressionisme. Il s'entoure
progressivement d'un petit groupe de peintres amis Olive-Tamari,
Friesz, Mintchine, Baboulène, Sabatier, Segal,
Échevin.
En juin, il publie un pamphlet poétique intitulé
"Oh
Palamède !" dans l'hebdomadaire toulonnais Je
dis tout.
1923, il expose à la galerie Saint-Pierre à Lyon
et
à la Société des Amis des Arts de
Hyères.
1923-1924 Participe aux expositions annuelles des Amis des Arts de
Toulon. 1926 il se rend
àSerres dans les Hautes Alpes pour
peindre des huiles et des aquarelles.
1925-1930, il expose au Salon des Artistes indépendants.
1930, Léon Vérane parlait de lui en ces termes
"José Mange, je veux tout de même vous le
présenter. Imaginez Mistral ou Buffalo Bill, sur les
soixante ans, la taille est haute, légèrement
voûtée, le visage souriant avec la royale qui le
prolonge ; sous le feutre à larges bords, les yeux
sont doux, indulgents, avec je ne sais quoi de juvénile,
d’insouciant, qui séduit au premier contact".
1928, lors d'une exposition à la salle Apollo
(boulevard de Strasbourg), il est remarqué par Bruno Bassano
avec Bianchieri, Chardeyron, Meurise, Latapie, Salvado, Saint-Paul et
Segal. 1929, voyage à Paris et réalise
à
Blanc-Mesnil des aquarelles et des huiles des rues et de
l'église. 1931 à partir
de cette date José Mange et Guyte deviennent les amis de
Georges Bernanos et ce dernier écrit sur La
Grande Peur des biens-pensants,
le livre qu'il lui offre cette dédicace
« Au cher
peintre José Mange avec toute l'affectueuse admiration de
son
ami Georges Bernanos".
1933, iI fréquente la communauté d'artistes et
d'écrivains qui séjournent à Toulon
(expositions
à la Galerie Bassano avec Willy Eisenschitz,Pierre Deval et
Simon Segal). 1934 Autre
dédicace de son ami Georges Bernanos sur son livre Jeanne relapse et sainte :
« À José Mange qui vit
noblement et pauvrement dans un monde sans noblesse ni
pauvreté, gentil'homme provençal parmi les mocos". Danièle
Masse précise dans son livre :
Son ami Baboulène, se souvient d'un jour de
l'année 1934 sur le boulevard de strasbourg où
avait lieu
une manifestation pour le front populaire, qu'il cria aux manifestants
en passant à leur hauteur : "Vive le roi, messieurs...". Il
est
mort l'année d'après, en 1935 dans le plus total
dénuement.
Fils de Jacques de Geoffroy d'Antrechaus,
conseiller du roi et de Madeleine Dasque,
d'Antrechaus fut premier
consul de Toulon pendant la terrible épidémie de
peste de 1720-1721 qui, partie de Marseille, causa la mort
de plus de 16 000 des 26 276 habitants que comptait Toulon en 1720.
Il y perdit 9 membres de sa famille dont sa mère, sa
grand-mère et deux de ses frères. Son
dévouement durant cette période est
demeuré légendaire et lui valut 1 000 livres de
pension sur le trésor royal en 1723.
Il fut fait chevalier de Saint Michel en 1723. A nouveau premier consul de
Toulon de 1729 à 1730, deuxième
consul en 1740, premier consul en 1741, troisième consul en
1746, deuxième consul en 1747, premier consul en 1748-1749,
troisième consul en 1754-1755, il fut ensuite, une fois
retiré, viguier de Toulon pendant plus de deux ans.
Son fils Jean (1693-1762) qui épousa l'une des filles du
capitaine de vaisseau Louis Vincent Grimaudet de Motheux (lui aussi
mort de la peste en 1721), fut lui même consul de Toulon
tandis que deux de ses petits-fils servirent dans la marine royale
comme officiers et que le troisième fut commissaire de
marine.
Une rue de
Toulon porte son nom ainsi qu'une place de la ville de Lorgues (Var). Il vécut place de la
Poissonnerie...
Dixit Danièle
Masse : La
famille d'Antrechaus possédait une très belle
demeure sur
la place de la Poissonnerie, dont la porte avait
été
décorée en 1660 par Pierre Puget.
L'hôtel
d'Antrechaus fut détruit par les bombardements de la
dernière guerre mondiale.
Nous
n'entrerons pas dans le détail de ses explorations polaires.
Une
page n'y suffirait pas.
Dixit Danièle
Masse :Ambiance*
bien différente de celle que connut l'amiral Dumont
d'Urville qui
habita une maison bourgeoise en son temps à l'angle de la
rue
des Riaux et de la rue Pierre Semard. Cet explorateur qui
découvrit la terre Adélie, fit en effet de longs
séjours à Toulon, où il se maria (1790
- 1842) (*voir
également l'onglet "historique des rues" à Pierre
Semard ou "rue du canon").
Jules
Sébastien César Dumont d’Urville,
né à Condé-sur-Noireau le 23 mai
1790 et mort accidentellement
à Meudon le 8 mai 1842, est un
officier de marine et
explorateur français qui mena
de nombreuses expéditions, notamment à bord de
l'Astrolabe.
Né
au sein d’une ancienne famille de Normandie, son
père, Gabriel Charles François Dumont, seigneur
d’Urville est bailli de la nouvelle Haute Justice de
Condé. Après le décès de ce
dernier, son éducation est confiée au
frère de sa mère, l'abbé de
Croisilles, chanoine à Caen.
Il
poursuit ses études au collège de Bayeux puis,
bon élève au lycée de Caen.
À 17 ans, il s'engage dans la Marine et, après
avoir subi avec beaucoup de succès un
sévère examen, il fut nommé aspirant
de première classe en novembre 1807.
À
vingt ans (en 1810), il se présenta à
l’examen de l’École
polytechnique,
mais son âge trop avancé ne permit pas
qu’il y
fût reçu. Il débuta sa
carrière dans la
marine à Brest en 1811
sur le vaisseau l’Aquilon, puis il
passa successivement sur l’Amazone, le Suffren, le
Borée et la Ville
de Marseille et
parvint en 1812 au grade
d’enseigne
de vaisseau. Le
premier voyage de Dumont d’Urville eut lieu sur la Ville
de Marseille, qui
conduisit en 1814 le duc
d’Orléans
à Palerme et qui
l’en ramena avec sa famille.
Il
rencontre à Toulon, Adèle Pépin, fille
d’un horloger de la marine originaire de Cluses en Haute
Savoie, qu'il
épouse le 1er mai 1815
à Toulon.
"Un de la poissonnerie" !
Doublé, en ce qui me concerne, d'un formidable quiproquo qui a duré plus d'un demi-siècle.... Oui, "un
de la poissonnerie". Il habitait rue des Bonnetières à 100 mètres de chez moi. Il a
disparu quand je suis né. En 1950. Ce ne sont que mes oreilles qui
entendaient parler de sa disparition !
J'avais huit ans. J'ai confondu Meiffret et Maufrais... Là est le quiproquo (voir onglet "quelques écrits sur ma jeunesse - une bande de copains" si cela vous intéresse...). Sa biographie s'impose. Merci Wikipedia...
Et merci de cliquer sur ce lien pour "récupérer" son histoire... (Biographie Maufrais).
J'ai trouvé dans la lecture de son livre "Aventures en Guyane",
page 236, un descriptif extrêmement précis et
réaliste de ce qu'éprouve un explorateur en forêt
vierge, ce que l'on appelle la jungle... (voir ci après pour les sources, j'insère en italique) :
"Marcher en forêt, c'est ployer
sous le sac, à chaque pas trébucher, glisser, tomber, on
se raccroche à un arbre et c'est un épineux ! On le
relâche pour un autre, il cède car il est pourri et vous
voilà couvert de fourmis; on évite une liane pour tomber
dans une autre; on met le pied sur un tronc qui cède et vous
voilà enlisé jusqu'aux genoux; sur un autre, on
dérape; on reprend l'équilibre, mais le pantalon
accroché au passage se déchire et le fusil prisonnier
d'une liane vous repousse en arrière, vous fait perdre de
nouveau l'équilibre alors que, nerveusement, vous cherchez
à tirer au lieu de trancher, et vous voici par terre, sur des
feuilles, un tapis de piquants d'avoara; les mains
zébrées par les herbes coupantes, l'oeil rouge d'avoir
été éborgné, on avance pas à pas, le
sabre à la main dont le fil, déjà est
retourné d'avoir tant et tant taillé. Marcher en
forêt, c'est aussi se glisser, ramper, marcher à genoux,
à quatre pattes pour franchir un obstacle. C'est se barbouiller
de toiles d'araignées gluantes, se couvrir de fourmis,
défoncer un nid de mouches méchantes et se retrouver
enflé, meurtri, harassé, épuisé, saignât,
près à mettre le pied à l'endroit précis
où une seconde auparavant un petit serpent noir et terriblement
venimeux se tortillait dans une tâche de soleil et le voir filer
prestement, mais avec la crainte de le retrouver sans pouvoir
l'éviter, dans ce tas de branches, dans ce trou herbeux,
accroché à cette liane froide et fine et humide qui
glisse dans le cou et menace de vous étrangler, cependant que
vous frissonnez, prêt à hurler de terreur, croyant
déjà sentir l'étreinte de l'anaconda ou les crocs
du grage (Lachesis muta, un des serpents crotales les plus venimeux de
Guyane). Alors, instinctivement, on porte la main à sa poche
pour s'assurer de la présence du garrot, de la seringue et du
sérum dans leur trousse. Alors seulement on est un peu
rassuré... mais c'est alors, comme cela vient de m'arriver, que
l'on met le pied sur une fourche élastique qui se referme comme
un piège, serrant la cheville à faire crier et
l'enserrant si fort qu'il faut longtemps pour se dégager,
meurtri, mal en point et boitant bas. On rage, on jure, on serre les
dents, on avance tout de même, de plus en plus flagellé,
déchiré, saignant - pas précautionneux qui ne
servent à rien pour éviter ce que l'on redoute. On
affecte la démarche de l'homme ivre courbé sous le poids
d'un sac".
De nombreux articles lui ont été consacrés. Lui
même en a écrit. D'abord les trois livres fondamentaux.
Deux de Raymond et celui de son père parti à sa recherche
(clic sur l'image pour agrandir).
Edgard
a parcouru plus de 12 000 km dans 22 expéditions et quatre
séjours en forêt vierge de 1952 à 1964.
Certainement plus que le fils.
Quand
je parcours le livre, je me demande comment qualifier l'amour que le
père avait envers le fils pour avoir fait ce qu'il a fait.
L'aurais-je fait ? Je ne le crois pas. Dysenteries, privation de
nourriture, repas d'iguanes, tapir (les indiens en sont friands), singe
rouge, caïmans, lézards, piraï (piranhas), aïmara
(gros poissons qui peut attaquer l'homme), scorpions qui vous piquent,
serpents surucucu (très dangereux), araignées qui vous
donnent une fièvre de cheval, moustiques, vers qui vous trouent
les pieds et vous donne la fièvre, mouches "sans raison" (elles
vous attaquent sans raison), vampires suçant le sang sans vous
réveiller, nids de guêpes que vous apercevez au dernier
moment, etc., etc., etc...
Le
président de l'Association des Amis de l'Explorateur Raymond
Maufrais (AAERM), M. Geoffroi Crunelle a élaboré un
document sur "Le Toulon des Maufrais". Cette association a eu le jour
en 1951 et réactivée en 1991. Le but était d'aider
Edgard son père à financer ses futures expéditions
à la recherche de son fils Raymond.
Un léger correctif est à apporter à ce document :
La société des amis du vieux Toulon n'est plus au 69
cours Lafayette mais rue Saint Andrieux... "ma rue"...
Avec plusieurs ambigüités : les pages jaunes et blanches situent
cette société rue Richard Andrieu... c'est faux.
Et la rue Saint AndrieuX certains ne mettent pas de X alors que la plaque de la rue en comporte un !
Si vous avez la solution, merci de me faire parvenir l'explication... J'ai mon adresse perso dans le préambule...
Cinq colonnes à la une !
1960. Le vieil homme et la forêt (vidéo de l'INA). Une
dizaine de minutes pour rencontrer Edgard. Il en a encore pour quatre
années de recherches... Le savait t'il ? Surtout qu'il se disait déjà très fatigué...
Quatre ans après l'interview, il a
été récupéré dans un état
d'extrême fatigue par la gendarmerie partie à sa
recherche (commandant René Ricatte). Clic sur le lien ci après pour vous rendre compte de
son "état".... (Edgard en 1964. La fin des recherches...)
4 séjours :
- Juillet 1952 - Août 1955
- Juin 1956 - Août 1957
- Octobre 1959 - Février 1961
- Août 1963 - Juin 1964
Je ne sais si Paul Cresp l'auteur de "Un écrivain nous parle
de la poissonnerie" et de (Toulon) "Le coeur historique, souvenirs et
témoignages" (voir sommaire) deviendra célèbre,
mais je l'ai inséré dans la localisation, tout du moins
son habitation de jeunesse... Voir ci dessous.
Et je voudrais associer Paul à l'histoire des Maufrais car il y
a un lien direct ! Et oui l'ami de Paul, un certain Giacobazzi a
effectué des peintures de Raymond, peintures dont certaines sont
en vente sur le site Maufrais.info ci dessus. On
peut récupérer le catalogue en cliquant sur le lien ci
après. Peintures Maufrais...